Dimanche.

Achat des billets. Moins chers aux guichets que sur le net.

Petit tour sur le port d'Oslo. Sympa le coin.

Petit déjeuner avec vue sur les bateaux.

A cause du virus, par mesure d'hygiène, pas de paiement cash. Avant le cash était propre, maintenant c'est sale. Aller un petit effort et le liquide disparaîtra complètement. Il est vrai que les touches des machines sont plus propres.

Bref, l'heure de se présenter à l'embarquement donne le signal de quitter le sol du nord.

Le ferry est énorme. Un des plus gros bateau du monde transportant des véhicules.

A l'intérieur c'est assez délirant côté luxe et lumières.

De quoi s'occuper toute la traversée si le désir en est bien présent.

Nous quittons Oslo à 14h. 74000 tonnes en mouvement. C'est jolie Oslo vu de la mer. Pleins d îles et de forêts partout. Tout autour.

Journée découverte des étages et ballade sur le pont. Il commence à poindre quelques masques de ci de là. Un avant goût de l'Allemagne ?!

Ce soir ce sera bières et pizzas. Prix abordables pour le secteur. Et dodo.

Le buffet du petit déjeuner est délirant.

Impossible de goûter à tout. Et c'est très bon en plus.

Vraiment c'est une orgies de mets.

Les vitres du restaurant "grand buffet" , donnant sur la mer, sont sales ?

Pas de problème, un rouleau style lavage de voitures les nettoye de l'extérieur en un tour de main.

Croisière luxueuse disions nous.

Le ventre plein, le port de Kiel, nous tend les bras pluvieux que nous avions quitter tout sourire. La vie s'amuse puisque nous y revoilà. J'aurai perdu mon pari sur un éventuel retour ici.

Du coup, ce sera direction gare et billets de trains. Nous en avons trouver quasi direct pour Genève. Juste une correspondance à Zurich et il est possible d'y mettre les vélos.

La gare : Tib part acheter les billets.

Le temps est un peu long avant son retour. Ça renifle pas bon.

A tel point que le train c'est mort. Complet pour les vélos.

Du coup, ultime solution : le bus.

2 places avec vélos et bagage pour jeudi réservées. Un petit coup de chance sur cette période. Reste que nous sommes lundi et que nous ne sommes pas encore dans le bus.

Un changement à Franckfort et c'est Genève.

S il existe un abonnement aux souhaits avec une carte, dieu sait qu'elle chauffe à blanc.

C'est fou comme la foi se développe drue dans ces moments là.

Reste plus qu'à se laisser glisser tranquille vers jeudi.

Peut être un tour en ville pour changer les sous restant. Manger une glace et brûler quelques offrandes de lumières ?